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Omnipotence des banques centrales, capitalisme financier et capital productif.
La crise du Coronavirus a décuplé l'interventionnisme des banques centrales pour mettre sous cloche les risques financiers majeurs et soutenir les États face à la situation d'urgence sanitaire.
Malgré une paralysie inédite de l’activité économique internationale pendant près de deux mois, une crise financière majeure a pu être évitée. Ceci suffira-t-il à assurer le retour d'une croissance économique équilibrée ? En quoi les pratiques des banques centrales risquent-elles de desservir les perspectives d'investissement productif, d’emploi et, in fine, de reflation aujourd'hui plébiscitées par les marchés financiers ?
Véronique Riches-Flores est économiste indépendante, RichesFlores Research.
Date : mardi 22 septembre 2020
Heure : 12h-13h
Evénement gratuit (sur inscription obligatoire).
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